C’est une histoire tirée d’une histoire vrais. En fait, c’est l’histoire de mon meilleur ami, gay, et de son meilleur ami, devenu gay. Les noms des personnages ont presque tous été changés et les lieux sont tous réels.
J’espère que vous aimerez. Sans plus attendre, voici le prologue.
- En refermant la porte derrière moi, la musique s’étais atténué. Doucement, je m’habituais à la noirceur de la pièce. Sa chambre était exactement comme dans mes souvenirs sauf qu’elle étais bien rangée. Lui qui détestais faire du ménage, ça avait du être pénible de faire sa chambre. D’après moi, c’étais une des conditions que ses parents lui avaient imposés pour qu’il puisse faire sa fête. Je me laissais tomber sur son lit et me mit à penser à se que je ressentais et à ce qui venais de se passer. Il sortait avec Krystel.. Normal, il est hétéro alors il sort avec des filles. Moi, il ne me verra jamais autrement que comme Cédric, son meilleur ami, son copain de beuverie. Si seulement il savait… Sans m’en apercevoir, je m’étais mis à pleurer. Les larmes coulais doucement sur mes joues. Plus le temps passait, plus larmes coulaient. Les simples larmes se transformèrent en sanglot et je n’étais plus capable d’arrêter de pleurer. J’avais même pas remarquer que quelqu’un étais rentrer dans la chambre quand je sentis une main sur mon épaule.
« Hey Ced, tout va bien ? Pourquoi tu pleure de la sorte ? »
Ah. Comme on parle du loup. Je me redressa de manière à pouvoir le regarder. J’effaçait les dernière larmes qui coulaient et calma ma respiration.
« Rassure-toi. C’est rien, je vais bien. Je te le jure. »
Je lui souris mais il remarqua très bien que mon sourire étais un des plus faux que j’avais jamais fait. Je me détournais de lui lorsque je senti les larmes recommencer à couler mais il en décida autrement. Il s’ assiéra devant moi et me força à le regarder.
« Je n’aime pas te voir pleurer. Surtout pas quand je sais pas pourquoi tu pleure. Tu sais que tu pourra toujours compter sur moi n’est-ce pas ? Tu pourra toujours compter sur moi. On est pas ami pour rien. »
Ami. Ce mot tournait et tournait dans ma tête. Les larmes coulaient de plus en plus.
« Hey vieux, arrête de pleurer. Ca va aller. Dit-moi au moins pourquoi tu pleure. »
En disant cela, il se rapprocha de moi et la goute qui déborda le vase. Je me rapprocha encore plus et posa mes lèvres sur les siennes. -
Alors, voilà le prologue. :) Merci